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21 juillet 2011 4 21 /07 /juillet /2011 12:31

Au Burkina on est plus près de la terre, une terre omniprésente. Alors dans la poussière entêtante, se confondant avec l'ocre de la latérite, jouant des ton sur ton sur le sol sableux, les petites bêtes sont partout, nous observent, nous parasitent, nous mettent parfois en danger...

Les animaux savent, eux, mieux que nous, remarquer le minuscule point en mouvement à leurs pieds :

 

petites-betes-16.jpg

 


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commentaires

G
<br /> Je plaisantais, la latérite évoque pour moi la couleur rouge brique, d’où l’allusion aux maisons belges et à la chanson de Jacques Brel. Les ocres, elles sont forcément de Roussillon en Provence,la<br /> belle région qui est la mienne!<br /> C’est un plaisir de se promener dans ton espace, on te suit dans un voyage du quotidien, avec tes amis, tes coups de cœur, tes peurs des petites bêtes, et ta sensibilité ponctuée par tes superbes<br /> photos. C’est un chouette blog.<br /> <br /> <br />
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2
<br /> <br /> merci, Gratienne !<br /> <br /> <br /> <br />
G
<br /> J’aime beaucoup ce mot « latérite » ( du latin later= brique) très poétique . Je connais une grande région dans le Nord qui amoncelle la latérité pour tous ses habitants , grosses et petites<br /> bêtes…..Le plat pays qui est le mien:)<br /> <br /> <br />
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2
<br /> <br /> le plat pays qui est le tien ??? !!!<br /> <br /> <br /> <br />

 

projet d'atelier mécanique et artistique visant à accroître l'autonomie de personnes handicapées, au Burkina Faso

 

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